Les pêcheries sont des groups qui élèvent ou récoltent (collectent) du poisson, qu’il s’agisse d’une pisciculture ou de pêcheurs qui recueillent des poissons pêchés à l’état sauvage. Ici, nous voyons des prises accessoires, des poissons qui ont été capturés en tentant d’attraper une autre espèce.

Les prises accessoires sont responsables de la mort de plusieurs tonnes de poissons, c’est pourquoi les méthodes de pêche doivent être étudiées, améliorées et souvent réglementées.

Image par Jesse Senko.

Louis Pasteur est surtout connu comme chimiste et microbiologiste, mais il était aussi un scientifique de l’alimentation. Pasteur a découvert la fermentation et la pasteurisation. La fermentation peut rendre les jus alcooliques et par la pasteurisation, nous pouvons chauffer certains produits alimentaires juste assez pour contrôler une grande partie des bactéries qui étaient présentes dans les aliments.

Image par le Musée d’Orsay.

Les histologues étudient les tissus, comme cet os spon-gieux. Les muscles, le sang, la peau et les cellules nerveuses sont également des catégories spécifiques de tissus.

Eric Moody pmet un poisson, le robuste Gambusia, dans un sac d’eau afin qu’il puisse mesurer la quantité d’azote et de phosphore que son corps libère.

Image, courtoisie d’Eric Moody.

Les biologistes marins étudient une grande variété d’organismes puisque tout ce qui vit dans un milieu marin peut relever de leur domaine d’étude. Ceci peut inclure des oiseaux de mer flottant sur la surface de l’océan ou chassant dans d’autres eaux salées près de la côte. Leur domaine d’étude peut aussi inclure des crustacés (comme cette crevette mante), ou même des bactéries qui vivent dans les profondeurs de l’océan près des évents thermiques.

Image par Roy L. Caldwell via PD-USGOV.

Les microbiologistes travaillent sur les organismes microscopiques, tels que des bactéries ou des champignons. Ici, deux microbiologistes travaillant pour l’USDA vérifient la croissance des micro-organismes sut une plaque d’agar.

Image par la USDA.

De nombreux neuroscientifiques travaillent sur des questions qui se rapportent aux humains, mais travaillent aussi avec des espèces animales. Prescott Breeden de l’ASU (Université d’État de l’Arizona) se penche sur la capacité de mémoire de travail des chiens. Ici, un chien est dans un labyrinthe et doit trouver les multiples friandises qui y sont cachées. Les chiens sont utilisés parce qu’ils sont connus pour montrer certains signes de la maladie d’Alzheimer et peuvent donc être utilisés pour tester de nouvelles idées avant de les appliquer aux humains.

Image par Prescott Breeden.

Mimi Kessler (à gauche) travaille avec des chercheurs locaux, des étudiants et des membres de la communauté en Mongolie pour étudier la grande outarde d’Asie centrale. Dans le cadre de ce travail, l’équipe tente de trouver des populations de cet oiseaux rate. Si des oiseaux sont trouvés, ils peuvent essayer de capturer et d’attacher des sacs à dos de suivie à certains oiseaux. Cela leur donnera des informations sur le mouvement et la migration des oiseaux, ainsi que sur les sones où l’activité des outardes est élevée et sur les zones où les oiseaux sont menacés par le braconnage.

Image, courtoisie de Mimi Kessler.

Nikos Lessios de l’Université d’État de l’Arizona étudie comment un petit crustacé, le Triops, répond à la présence de lumière. Ici, le Triops s’est retourné et nage à l’envers parce que les chercheurs ont dirigé une source de lumière sur le crustacé par en dessous.

Les chercheurs apprennent comment cette créature réagit à la lumière dans l’environnement.

Image par Nikos Lessios.

L’écologiste des plantes Dustin Wolkis receuille des données sur l’humidité du sol et la conductivité électrique du sol (qui lui indique sa teneur en sel) à Cieneguita Cienega, dans le sud de l’Arizona.

Ses collègues et lui s’efforcent d’en apprendre davantage sur l’endroit où se trouvent certaines plantes (les distributions végétales) dans cette région sous-étudiée. Ils cartographient la zone et enregistrent des données sur la végétation et les caractéristiques su site pour en apprendre davantage sur la façon dont l’environnement peut influencer la répartition des espèces végétales.

De telles données fournissent des informations importantes pout de futurs projets axés sur la conservation des espèces ou la restauration de zones spécifiques.

Image par Steven Blackwell.

Les scientifiques écrivent souvent sur tout ce qui les intéresse, qu’il s’agisse de la découverte d’une nouvelle espèce, d’une nouvelle percée médicale ou du développement de biocarburants. Ici, nous voyons des tubes remplis de cyanobactéries dans le cadre de tests sur les biocarburants à l’Université d’État de l’Arizona.

Image, courtoisie de l’Institut de bioconception.

Le biologiste thermique Jason Borchert sort les chambres volantes d’une réfrigérateurs spécial (incubateur) qui contrôle la température, la lumière et l’humidité. Il teste comment ces facteurs influent sur le développement et la survie des mouches au fur et à mesure qu’elles se développent en passant de l’œuf à l’âge adulte.

Image, courtoisie de Jason Borchert.

Les virologues étudient la structure, la classification et l’évolution des virus, entre autres. Cette illustration du VIH montre des molécules spéciales (protéines) à l’extérieur du virus VIH perçant la cellule hôte. Après cela, le virus fusionnera avec la cellule et l’infectera.

Image par J Roberto Trujillo.

Une partie importante du travail pour de nombreux gardien de zoo est de dresser les animaux afin qu’ils puissent être examinés par un vétérinaire. Ici, Coco -un rhinocéros noir au Fossil Rim Wildlife Center- lève la jambe sur les ordres du gardien de zoo afin que le vétérinaire puisse traiter une coupure sur son pied. Le liquide brun sur le sol est de l’iode qui a été utilisé pour nettoyer la plaie.

Image, courtoisie de Karla Moeller.